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Une FAQ pour faciliter votre vote aux prochaines législatives
À la surprise générale, le Président de la République a dissous l’Assemblée nationale quelques heures après les résultats des élections européennes. Les Français sont donc appelés à voter pour des législatives anticipées les 30 juin et 7 juillet prochains.
Le cabinet Aequivalens vous propose une petite FAQ dans le cadre de ce vote que certains politologues qualifient déjà d’historique.

Tout citoyen âgé d’au moins 18 ans la veille du premier tour du scrutin peut voter. Il faut donc retenir la date du 29 juin.
Pour ceux qui votent depuis la zone américaine tels que les DROM-COM (Martinique, Guadeloupe, Guyane, Saint-Martin et Saint-Barthélemy) ou les Français de l’étranger de cette zone, le vote pour cette élection anticipée s’effectuant le samedi, il faudra avoir 18 ans au plus tard le vendredi 28 juin.
Toute personne qui aura été privée de ses droits civils et politiques ne peut participer aux votes durant la période de sa condamnation.
De même, pour les élections législatives, seuls les citoyens de nationalité française peuvent voter, contrairement aux élections dites locales ouvrant le droit de vote aux citoyens de l’Union européenne.
Non, le corps électoral est celui qui a été figé en février 2024 pour les élections européennes qui viennent de se dérouler. Il est néanmoins à noter qu’un recours a été déposé devant le Conseil constitutionnel sur cette question.
De même, le délai pour les inscriptions dérogatoires a expiré ce mardi 18 pour les listes de la zone américaine et ce mercredi 19 pour les autres listes.
Les demandes d’inscription qui ont été faites dans ces délais sont examinées par la commission administrative qui statue au plus tard cinq jours avant le jour du scrutin.
Le vote se réalise au sein d’un bureau de vote qui représente un périmètre géographique déterminé au sein d’un canton.
Chaque électeur reçoit une carte électorale. Celle-ci atteste de votre inscription sur les listes électorales et indique le bureau de vote de l’électeur en fonction de sa zone de résidence.
Il n’est pas possible de voter en dehors de son bureau de vote. Le jour J, seul votre bureau de vote pourra prendre votre suffrage.
Le scrutin est ouvert de 8 heures à 18 heures. Par ailleurs, dans le but de faciliter l’exercice du droit de vote, sur décision du préfet, les bureaux de certaines communes pourront fermer au plus tard à 20 heures. C’est le cas des grandes agglomérations comme à Nice.
Une pièce d’identité suffit pour voter. La carte électorale n’est pas obligatoire.
Sont considérées comme pièces d’identité acceptées au regard de l’arrêté du 12 décembre 2013 :
Carte nationale d’identité
Passeport
Carte d’identité d’élu local avec photographie, délivrée par le représentant de l’État
Carte d’identité de parlementaire avec photographie, délivrée par le président d’une assemblée parlementaire
Carte vitale avec photographie
Carte du combattant de couleur chamois ou tricolore
Carte d’invalidité civile ou militaire avec photographie
Carte d’identité de fonctionnaire de l’État avec photographie
Carte d’identité ou carte de circulation avec photographie, délivrée par les autorités militaires
Carte de famille nombreuse avec photographie délivrée par la Société nationale des chemins de fer
Permis de conduire
Permis de chasser avec photographie, délivré par le représentant de l’État
Livret de circulation, délivré par le préfet en application de la loi n° 69-3 du 3 janvier 1969
Récépissé valant justification de l’identité, délivré en échange des pièces d’identité en cas de contrôle judiciaire, en application du neuvième alinéa (7°) de l’article 138 du code de procédure pénale.
Après vérification de votre inscription au sein du bureau de vote, une enveloppe électorale vous est remise.
Les différents bulletins de vote sont mis à disposition sur la « table de décharge », et vous devez prendre obligatoirement au moins deux bulletins de vote.
Si vous avez reçu par voie postale le bulletin du parti pour lequel vous souhaitez voter, vous pouvez l’amener et l’utiliser. Attention cependant à ce qu’il ne soit pas vu et surtout qu’il ne soit ni déchiré ni taché, auquel cas il ne serait pas comptabilisé.
L’électeur doit se rendre dans un isoloir pour introduire dans l’enveloppe le bulletin qu’il a choisi, qu’il l’ait récupéré sur la table de décharge ou amené avec lui.
L’électeur se dirige ensuite vers la table où se trouve l’urne. Il présente à nouveau sa carte électorale ou sa pièce d’identité, à moins qu’elles aient été conservées, et, à l’appel de son nom, glisse son bulletin dans l’urne.
Il est ensuite invité à signer à côté de son nom sur la liste d’émargement.
Vous pouvez retrouver en ligne ces informations sur le site https://www.elections.interieur.gouv.fr/mes-demarches/je-trouve-mon-bureau-de-vote
En utilisant ce lien, avec vos nom, prénoms, sexe, date de naissance, commune et code postal du lieu de vote, vous recevrez les informations sur votre inscription et votre bureau de vote si vous êtes inscrit.
Si vous êtes empêché lors des élections, vous pouvez donner procuration afin qu’une personne vote à votre place.
La démarche doit être faite au commissariat, à la gendarmerie ou au tribunal judiciaire de votre lieu de travail ou de votre domicile. Vous pouvez anticiper et gagner du temps en remplissant le formulaire, nommé Cerfa 14952*03, en ligne et en l’imprimant.
Vous devrez attester sur l’honneur d’un empêchement. Il peut être en raison d’un handicap, mais aussi du fait d’un déplacement en dehors de votre commune pour le travail, des vacances ou une formation. Les personnes détenues et qui ne purgent pas une peine d’incapacité électorale peuvent aussi bénéficier d’une procuration.
Votre procuration peut être réalisée jusqu’à la veille de l’élection. Celle-ci peut être faite pour un seul scrutin ou être réalisée pour une durée maximale d’un an.
Vous pourrez donner votre procuration à une personne qui habite dans la même commune que vous. Celle-ci doit disposer de ses droits électoraux.
Votre mandataire ne peut avoir qu’une seule procuration. Il peut exceptionnellement en disposer de deux, si l’une d’elles est faite par un Français de l’étranger.
Si le jour du vote, on ne vous retrouve pas sur les listes électorales, le juge judiciaire a compétence pour statuer sur les réclamations d’omission de citoyens des listes électorales.
Le tribunal tranche s’il s’agit d’une erreur purement matérielle ou d’une radiation volontaire de ces listes. Si vous avez été radié d’office des listes électorales par la commission administrative, votre mairie avait l’obligation de vous en informer afin de vous permettre de vous réinscrire dans les délais.
Il est à noter que tout électeur inscrit sur la liste électorale de la commune peut réclamer auprès du juge l’inscription d’un électeur omis ou la radiation d’un électeur indûment inscrit. Le même droit appartient au préfet ou sous-préfet.
La décision du tribunal d’instance est en dernier ressort. Il n’y a pas d’appel possible. S’il y a un pourvoi en cassation, celui-ci doit être réalisé dans les 10 jours et la Cour de cassation statue définitivement sur le pourvoi.
Cette demande devant le juge peut être faite au premier tour, mais aussi au second (2e Civ, 5 juillet 2001 : Bull. civ. II n° 130).
Vous rencontrez une difficulté le jour du vote ?
Notre cabinet assurera une permanence lors de chacun des deux tours pour vous aider dans vos démarches, notamment en cas de radiation des listes électorales. Une adresse courriel unique : election@aequivalens.fr
Xavier FRUTON
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L’audience de règlement amiable : une nouvelle opportunité pour les personnes sourdes pour la résolution rapide de leurs différends

Les nouvelles audiences de règlement amiable (ARA) ont pour finalité la résolution amiable du différend entre les parties, par la confrontation équilibrée de leurs points de vue, l’évaluation de leurs besoins, positions et intérêts respectifs, ainsi que la compréhension des principes juridiques applicables au litige. C’est une alternative précieuse pour résoudre les conflits de manière rapide, économique et confidentielle.
Pour les personnes sourdes, participer à une ARA offre des avantages significatifs, d’autant plus que la loi garantit leur droit à une interprétation adéquate.
En effet, selon l’article 23-1 du code de procédure civile, la juridiction est tenue de désigner un interprète lorsque cela est nécessaire. La présence de l’interprète assure la participation effective des personnes sourdes aux audiences judiciaires. Cela inclut les ARA, où la présence d’un interprète en langue des signes française (LSF) ou d’autres dispositifs adaptés est cruciale pour garantir une communication claire et complète entre toutes les parties impliquées.
Ce nouveau mode se distingue de la médiation, un processus au sein duquel l’interprétariat doit être supporté par les médiées. Assurer ce surcout peut être un frein pour mettre en place ce processus. Pour les personnes sourdes, c’était une contrainte supplémentaire pour résoudre plus rapidement leurs litiges.
Pour revenir aux ARA, elles se déroulent dans un cadre confidentiel. Cette confidentialité est essentielle pour protéger les informations sensibles et préserver la dignité des personnes impliquées. Elle permet de résoudre les conflits de manière discrète, sans exposition publique des détails personnels.
De même, le juge de l’ARA est spécifiquement chargé de mettre en œuvre des techniques de conciliation et de médiation. Cela favorise un dialogue ouvert et constructif entre les parties, facilitant la recherche de solutions mutuellement acceptables. Ce mélange des styles au sein de l’ARA est compatible avec le côté direct et sans enrobage de l’expression des personnes sourdes.
Ainsi, participer à une audience de règlement amiable est une opportunité précieuse pour les personnes sourdes de résoudre leurs conflits de manière efficace, respectueuse et équitable. En bénéficiant d’une interprétation adéquate et de techniques de conciliation/médiation, elles peuvent s’engager pleinement dans le processus et trouver des solutions qui répondent à leurs besoins spécifiques.
C’est une voie que je ne peux que recommander pour ceux et celles qui recherchent une résolution rapide et équitable à leurs différends, tout en bénéficiant de protections légales et d’un soutien approprié. Alors, demandez l’ARA à votre avocat ou au juge lors de vos procès devant les tribunaux judiciaires.
Lire plusAu gabinet Aequivalens, si continua l’aventura de la moneda locala lo Nissart*
*Au cabinet Aequivalens, on continue l’aventure de la monnaie locale le Nissart
En 2024, le cabinet Aequivalens continue l’aventure du paiement des honoraires d’avocat, de médiateur ou de facilitateur en nissart, la monnaie locale niçoise. Mise en place à Nice, sous l’impulsion de l’association « Republica de Nissa », présidée par Cristou Dauròre, le Nissart vise à promouvoir la langue nissarte, le patrimoine et les richesses du terroir à travers les enseignes de proximité, ainsi qu’à dynamiser les échanges locaux et à redonner un sens humain à la monnaie, au-delà de sa simple valeur financière. 1 nissart vaut toujours 1 euro et il existe des billets de 1 à 100 nissarts, comme sur la photo, aux effigies symboliques niçoises telles que l’aigle rouge, la ratapignata noire, l’écrivain Rosalinde Rancher, Garibaldi, Catherine Ségurane, Lalin Fulconis et Menica Rondelly. Chaque billet raconte une histoire locale et renforce le lien avec le patrimoine culturel. Retrouver les 20 autres partenaires de cette belle expérience sur www.nissart.org
Bonne année 2024

Madame, Monsieur,
En ce tout début d’année 2024, je voudrais vous parler d’un mot qui me tient à cœur : la responsabilité.
La responsabilité, c’est la capacité de répondre de ses actes, de ses paroles, de ses engagements. C’est aussi la conscience de l’impact que nous avons sur nous-mêmes, sur les autres, sur le monde. La responsabilité, elle s’exerce au quotidien, dans les petits gestes comme dans les grands projets.
Être responsable cela implique de faire des choix, c’est-à-dire de sélectionner une option parmi plusieurs possibles, sans complète maitrise, dépendant de notre environnement, du contexte, du hasard et de ce qui nous traverse émotions, sentiments, influences.
Choisir, c’est renoncer à d’autres opportunités, à d’autres chemins, à d’autres rêves. Choisir, c’est aussi accepter de perdre quelque chose pour gagner autre chose. Enfin choisir, c’est également assumer les conséquences de ses décisions, qu’elles soient bonnes ou mauvaises, attendues ou imprévues. Mais quoi qu’il arrive, nos choix nous façonnent, nous révèlent, nous engagent. Nos choix sont notre responsabilité.
La responsabilité, ce n’est pas seulement un devoir, c’est aussi une liberté qui découle des possibilités infinies de nos choix. La liberté de réaliser ses aspirations, de se dépasser. La liberté de changer d’avis, de se remettre en question, de s’améliorer. La liberté de dire non, de dire oui, de dire j’ai besoin de réfléchir. La liberté de se tromper, de se pardonner, de recommencer. La liberté de s’exprimer, de s’écouter, de se comprendre. La liberté de coopérer, de négocier, de concilier. La liberté de respecter, de tolérer, de reconnaître. La liberté de partager, de donner, de recevoir. C’est en fait vivre, tout simplement.
Et c’est dans cette même optique que la médiation peut prendre toute sa place. La médiation, c’est une méthode de résolution des différends qui repose sur la responsabilité et la liberté des différents participants appelés médiés. La médiation, c’est un espace de dialogue, de confiance, de créativité. La médiation, c’est une opportunité de trouver des solutions satisfaisantes, durables, équitables. La médiation, c’est une alternative aux conflits, aux procès, aux violences. La médiation, c’est une façon de préserver les relations, de restaurer les liens, de renforcer les solidarités ou de tourner une page proprement. La médiation, c’est une démarche volontaire, confidentielle, respectueuse. La médiation, c’est une chance de se responsabiliser, de se libérer, de se réconcilier.
Alors, pour cette nouvelle année 2024, je vous souhaite de faire des choix responsables et libres, et de recourir à la médiation en cas de besoin pour vous concentrer sur l’essentiel. Je vous souhaite une bonne et heureuse année !
Xavier FRUTON
Lire plusL’ARA : s’y intéresser avant qu’elle ne s’intéresse à vous !
L’ARA, c’est quoi ?
Un nouvel acronyme pour désigner l’audience de règlement amiable, encadrée par les articles 774-1 à 774-4 du Code de procédure civile, entrés en vigueur le 1er novembre 2023.
Rien de nouveau sous le soleil, me direz-vous, puisque l’ARA semble être ni plus ni moins qu’une résurgence de l’office de conciliation du juge déjà prévu par les dispositions de l’article 21 du Code de procédure civile : « Il entre dans la mission du juge de concilier les parties. »…
Sauf que les nouveaux textes semblent, en réalité, aller beaucoup plus loin, notamment à deux égards :
- Les dispositions de l’article 774-3 prévoit que la convocation adressée aux parties précise expressément qu’elles doivent « comparaître en personne ». Ce texte précise que lorsque les parties ne sont pas dispensées de représentation obligatoire, les parties comparaissent assistées de leur avocat. Dès lors, les parties ont l’obligation de comparaître en personne, ce qui est de nature à véritablement favoriser un rapprochement entre elles.
- Les dispositions de l’article 774-2 précisent que l’ARA a notamment pour finalité l’évaluation des « besoins, positions et intérêts respectifs » des parties. Ces termes ne sont pas employés par hasard, et pour les professionnels des processus de solutions négociées (médiation, processus collaboratif, procédure participative), ils font immédiatement écho à leurs compétences relationnelles de négociateurs, c’est-à-dire à la mise en œuvre d’un certain nombre de savoir-être pour permettre le passage des « positions » aux « besoins » et « intérêts respectifs » visés. Cette analyse est d’ailleurs confirmée par la circulaire du 17 octobre 2023 (JUSC2324682C) qui dit expressément que la mission du juge chargé de tenir l’ARA « implique, outre l’écoute des parties, de mêler les techniques de conciliation et de médiation ». Cela impliquera donc, pour les professionnels impliqués, d’être notamment formés à l’écoute active et la reformulation empathique, l’accueil des émotions et l’identification des intérêts, besoins préoccupations, valeurs et moteurs silencieux (« IBPVMs », encore un acronyme !). La présence physique des clients à l’audience étant requise, il sera à mon sens également nécessaire de les avoir bien préparés aux autres solutions amiables qui pourraient être suggérées lors de cette audience, et notamment, selon les cas, la médiation (conventionnelle ou judiciaire), les procédures participative, et le processus collaboratif (cf., en ce sens, l’article 6.1. du R.I.N. et surtout l’article 3.7.1. du Code de déontologie des avocats européens : « L’avocat doit essayer à tout moment de trouver une solution au litige du client qui soit appropriée au coût de l’affaire et il doit lui donner, au moment opportun, les conseils quant à l’opportunité de rechercher un accord ou de recourir à des modes alternatifs de règlement des litiges. »
L’audience de règlement amiable s’inscrit dans un temps plus long que celui consacré à l’examen d’un dossier dans le cadre d’une audience de plaidoirie.
La durée prévisible de l’ARA est dans un premier temps calibrée par le juge saisi du litige, lorsqu’il décide que les parties seront convoquées à une ARA, compte tenu des éléments du dossier dont il a connaissance et de l’avis des parties. Une fois l’ARA engagée, le juge chargé de l’ARA est maître de la gestion de ce temps. Il doit cependant veiller au respect de la charte des temps du greffe.
Il est préconisé toutefois de ne pas dépasser une journée.
Il sera donc nécessaire que l’avocat qui assiste une partie arrive non seulement parfaitement préparé à cette audience, mais également qu’il ait, en amont, bien préparé son client à cette audience d’une nouvelle nature, d’autant que la circulaire précité précise bien que l’ARA « s’inscrit dans un temps plus long que celui consacré à l’examen d’un dossier dans le cadre d’une audience de plaidoirie. […] Il est préconisé toutefois de ne pas dépasser une journée. ».
L’ARA fait ainsi entrer les processus de solutions négociées dans le judiciaire !
Conscient de l’intérêt de cette nouvelle figure de la procédure civile, nous avons décidé de proposer une offre de services en partenariat entre trois avocats et formateurs : @Nadine REY, @Martin LACOUR et @Xavier FRUTON sur laquelle nous vous invitons à réagir !






Un nouveau logo pour notre cabinet
Chers clients et partenaires,
Nous sommes heureux de fêter en cette fin du mois de septembre nos 7 ans d’existence. L’adage évoque l’âge de raison. Nous en profitons pour modifier notre logo, qui remplacera progressivement sur l’ensemble de nos supports de communication l’ancienne version. Cette modification du logo découle de notre engagement continu à évoluer et à mieux refléter les valeurs et les services que nous offrons à notre clientèle.


Comme vous le savez, nous avons lancé notre cabinet avec un double service, d’un côté les missions d’avocat et de l’autre celle de médiateur. Cette double casquette nous permet de vous donner le choix sur une palette de stratégie pour maximiser vos chances de réussite dans les litiges que vous nous confiez, tout en restant garant de l’ordre public dans toutes les activités négociées.

Au fil des années, nous avons élargi nos activités pour inclure des services de facilitation. Cette facilitation se décline au cabinet autour de quatre bases : la programmation neurolinguistique, le design thinking, la ludopédagogie et la facilitation graphique. Cela nous permet de vous accompagner dans le cadre de la facilitation en coaching juridique, en médiation de couple, en développement personnel, en médiation de projet, en gamification, en legal design et bien entendu en conduite du changement.
Ces services accessoires sont devenus une partie intégrante de notre pratique, nous permettant d’offrir des solutions plus complètes à nos clients.

Nous sommes ravis de vous présenter notre nouveau logo, qui incarne notre évolution en tant que cabinet polyvalent : avocat, médiateur et facilitateur. Ce logo met en avant un papillon qui reflète parfaitement notre engagement.
Le papillon est souvent associé à la transformation et à la métamorphose. Il passe par différentes étapes de développement, commençant par la chenille pour se transformer en une créature gracieuse et colorée. De manière similaire, notre cabinet évolue constamment pour mieux servir nos clients et s’adapter à leurs besoins changeants.
Les ailes du papillon arborent nos logos d’avocat, de médiateur et de facilitateur, chacun avec sa signification unique. En unifiant ces trois logos au sein du papillon, notre nouveau logo représente notre engagement à offrir des solutions complètes et adaptées aux besoins de nos clients. Tout comme le papillon se transforme et s’adapte, nous nous efforçons d’évoluer et de grandir pour mieux vous servir. En unifiant ces trois éléments, notre nouveau logo capture l’intégrité, la confiance et l’engagement que vous pouvez attendre de notre cabinet.

Nous croyons que cette mise à jour visuelle reflète fidèlement notre évolution en tant que cabinet d’avocats polyvalent et vous rappelle notre engagement à vous servir de la manière la plus complète possible.
Nous espérons que ce changement vous plait et que vous continuerez à nous faire confiance pour toutes vos affaires juridiques, de médiation et de facilitation. N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions ou des préoccupations concernant notre nouvelle identité visuelle. Nous sommes là pour vous aider et continuer à fournir les meilleurs services possibles.
Merci pour votre confiance continue.
Cordialement,
Xavier FRUTON
Lire plusMode d’emploi pour se faire réinscrire sur les listes électorales
226 962 électeurs ont été radiés des listes électorales au motif d’une « perte d’attache communale » selon l’INSEE.
Si vous souhaiter quand même voter : direction le tribunal judiciaire de votre domicile afin de demander au juge de prononcer une réinscription. (Art. L20 – II du code électoral)
Préalablement, vérifier si vous ne seriez pas inscrit sur un bureau de vote différent :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/services-en-ligne-et-formulaires/ISE
Ce lien interroge le répertoire électoral unique (REU). Il vous faudra renseigner votre identité, votre commune de vote. Attention, ce lien ne fonctionne pas pour la Nouvelle-Calédonie.

Pour saisir le tribunal judiciaire vous pouvez le faire soit par courrier (nous vous recommandons la lettre AR) soit en vous rendant sur place (y compris le jour du vote) en en remplissant le formulaire Cerfa n°15878*03 (cliquer ici).
Parmi les documents à fournir au juge :
– la non-inscription sur les listes de la commune (impression écran du lien ci-dessus ou d’une attestation délivrée par la mairie)
– la copie de votre pièce d’identité
– un justificatif de domicile (facture électricité, gaz, eau, internet)
– la copie de votre taxe d’habitation ou foncière (si vous êtes imposé)
– votre dernière carte d’électeur du bureau de vote où vous n’êtes plus inscrit
– tout document permettant au juge d’apprécier votre demande.
Notre cabinet assure une permanence ce dimanche 24 avril 2022 à l’adresse courriel election@aequivalens.fr et répond à vos questions par courriel.
Lire plusAquí si paga en nissarts !

Encore en 2022, nous acceptons le paiement de nos honoraires en nissart, la monnaie locale niçoise.
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